Violences policières : « On serait en banlieue je t’aurais arraché la tête » -- appartement, affirmant à l'habitant qu'il était venu contrôler : « on serait en banlieue je t'aurais arraché la tête ». Une phrase qui montre bien que les populations des quartiers populaires sont en première -- proférer à l’encontre de la victime, visiblement noire : « Ah mon gars t’as de la chance qu’on est à Paris, on serait en banlieue je t’aurais arraché la tête ». Ensuite une nouvelle menace est proférée par les -- grand, la bourgeoisie a parqué dans les années 60-70 des millions d’immigrés venant des colonies dans des banlieues bien plus proches du ghetto que d’autre chose, pour raccourcir le temps de trajet vers